5 février 2009
Collaboration : Joëlle Pomerleau et Patricia Cordeau
Dans le cadre de son plan d'action de développement durable, l'Université de Sherbrooke s'est engagée à poursuivre ses efforts dans le domaine de la récupération des matières. En ce sens, l'Université a été l'une des premières institutions sherbrookoises à prendre part au programme régional de récupération des piles usagées instauré par la Ville de Sherbrooke en novembre 2008.
Ce nouveau partenariat permet désormais d'étendre la collecte des piles sur nos campus afin de recueillir également les piles domestiques, soit celles en provenance de notre demeure. Des sites de collecte pouvant recueillir adéquatement les piles sont donc en cours d'installation dans les lieux d'achalandage des différents pavillons.
Les piles sont des résidus domestiques dangereux qui contiennent des métaux lourds toxiques tels le mercure, le plomb, le lithium, le zinc et le nickel. Une simple pile bouton pour les montres contient assez de mercure pour contaminer plus de 500 litres d'eau! Les piles sont également dangereuses pour chacun d'entre nous, car celles au lithium, même hors d'usage, peuvent éclater si le pôle positif entre en contact avec du métal.
Dans le cadre de ce nouveau programme, la Ville de Sherbrooke prendra en charge ces résidus dangereux afin d'en disposer de façon écologique. Les piles rechargeables seront dirigées vers une fonderie où tous les métaux qu'elles contiennent seront récupérés. Quant aux piles alcalines, elles seront mélangées avec du ciment, ce qui les rend inertes et permettra de les enfouir de façon sécuritaire.
Afin d'éviter les risques d'explosion, la Ville de Sherbrooke demande aux citoyens de protéger la borne positive des piles usagées, soit en la couvrant à l'aide de ruban isolant ou en enveloppant entièrement chaque pile dans une pellicule de plastique. Toutefois, dans le cadre du programme de collecte à l'Université, s'il vous est impossible de prendre ces précautions, l'Université se chargera d'isoler elle-même les bornes.
D'autres points de dépôt sont également mis à la disposition de la population, tels les écocentres, les bureaux d'arrondissement, les bibliothèques municipales et certaines pharmacies participantes.
5 février 2009 (no 12)
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